Sermon – 1 Corinthiens 9: 16-23 (7 février 2021)
1 Corinthiens 9: 16-23
Je n’ai pas à me vanter d’annoncer la Bonne Nouvelle. C’est en effet une obligation qui m’est imposée, et malheur à moi si je n’annonce pas la Bonne Nouvelle.
Si j’avais choisi moi-même cette tâche, j’aurais droit à un salaire ; mais puisqu’elle m’est imposée, je m’acquitte simplement de la charge qui m’est confiée.
Quel est alors mon salaire ? C’est la satisfaction d’annoncer la Bonne Nouvelle gratuitement, sans user des droits que me confère la prédication de cette Bonne Nouvelle.
Je suis libre, je ne suis l’esclave de personne ; cependant je me suis fait l’esclave de tous afin d’en gagner le plus grand nombre possible au Christ.
Lorsque j’ai affaire aux Juifs, je vis comme un Juif, afin de les gagner ; bien que je ne sois pas soumis à la loi de Moïse, je vis comme si je l’étais lorsque j’ai affaire à ceux qui sont soumis à cette loi, afin de les gagner.
De même, lorsque je suis avec ceux qui ignorent la loi de Moïse, je vis comme eux, sans tenir compte de cette loi, afin de les gagner. Cela ne veut pas dire que je suis indifférent à la loi de Dieu, car je suis soumis à la loi du Christ.
Avec ceux qui sont faibles dans la foi, je vis comme si j’étais faible moi-même, afin de les gagner. Ainsi, je me fais tout à tous afin d’en sauver de toute manière quelques-uns.
Je fais tout cela pour la Bonne Nouvelle, afin d’avoir part aux biens qu’elle promet.